Mes amis les politiques

La règle dite du « winner take all » , quoique d’une part reprise -avec succès- par mes amis informaticiens et d’autre part exprimant une certaine réalité neurobiologique, ne me semble pas démocratique; imaginons ainsi -à l’extrême- un pays composé de 101 états (pour simplifier les calculs, mais valable aussi pour 52 états) où dans 51 états, le candidat T arrive en tête avec 50,0001% des voix et dans les 50 autres, le candidat B arrive en tête avec 100% des voix. Dès lors le candidat T serait élu avec 25,2% des voix contre 74,7% pour le candidat B.

Pourrait-on faire confiance à ce pays pour imposer -world wide- sa vision de la démocratie ?

Depuis des décennies, il y a quand même un truc qui ne cesse de m’épater :

Imaginons l’existence d’une source d’énergie non polluante, non radioactive, avec des réserves de carburant (presque) infinies (eau de mer), dont le principe est connu depuis gai-luron, dont les premiers prototypes démontrent la faisabilité,

Alors pourquoi, pourquoi, le budget mondial consacré à la fusion n’est que d’un milliard d’euros annuel ?

Chiffre du jour : le budget mondial de l’armement est de 2 000 milliards.

J’ai fait le pari que Trump serait réélu. 2 options :
– s’il gagne, je pourrais me vanter de ma clairvoyance,
– s’il perd, comme le chantait Armstrong, un grand pas pour l’humanité !

Les agressions envers les tenants du port du masque semblent se multiplier:

« Après une altercation verbale houleuse, le jeune homme non masqué est sorti de la laverie puis est revenu avec des renforts, deux hommes ont alors frappé la victime à coups de batte de base-ball,… »

En fait, rien de nouveau sous le soleil; ce n’est pas le port du masque qui est en cause, c’est plutôt le système qui laisse trainer dans la rue des psychopathes impulsifs.

Par définition, les psychopathes ne ressentent pas de culpabilité; les sanctions ne les remettent pas en question. Ce n’est donc ni avec de la prévention ni avec de la répression qu’on résoudra le problème !

Qu’un ouvrier loue ses muscles, ça ne choque personne;
Qu’un cadre loue sa cervelle (son âme ?), encore moins,
Qu’une mère porteuse loue son utérus, c’est en cours de normalisation,

Par contre, louer (librement) son corps pour des services sexuels, ouh là là, question d’éthique !

Question : pourquoi l’Iran est le seul pays au monde sans liste d’attente pour les transplantations, avec les meilleures suites post-opératoires ?
Et toc !

Un petit extrait de la seule trace de l’existence de mon arrière grand-père :

« 30 juin [1915]: formidable attaque des Boches depuis Binarville jusqu’à Bagatelle. Terrible bombardement accompagnés de gazs asphyxiants. Pas un mètre de terrain qui ne soit labourés par les obus. Les tranchées anéanties. Ils nous en prennent 2 lignes. Je suis légèrement blessé à la tête et à une main. Nous subissons des pertes énormes. Les 2 tiers du régiment sont anéantis. Le soir, nous faisons des tranchées toute la nuit en arrière. »

Après 9 millions de morts, les belligérants se sont promis que ce serait la « der des der ».

Quand on sait ce qui s’est passé 20 ans après, on peut avoir des doutes quant à la santé mentale et à la capacité d’apprentissage de l’espèce humaine !

Trump est la cible des « antiFa » (anti-facistes). Peut-il réellement être qualifié de fasciste, alors qu’au sens strict, le fascisme se définit comme le régime mis en place dans les années 1920 par Mussolini ?

Au sens élargi, les définitions varient selon les sources, Wikipédia en fait -de mon avis- une bonne synthèse :

– idéal collectif suprême : « make America great again »
– populisme : « Corrupt media is enemy of the people »
– nationalisme : «America First»,
– totalitarisme : « will you accept the election result ? »; « I have to see ».

Heureusement qu’il n’entretient pas le culte de sa personnalité; sinon on pourrait avoir des doutes !

Note : qui a dit « Wir werden eine MAUER bauen und Sicherheit haben » ?

Mes amis les bobos communistes écolos, me font rire : « il faut sauver la planète ! », disent-ils dans un anthropomorphisme poussé.

La planète se désintéresse complètement de l’extinction massive en cours. Ce n’est pas la première fois; mieux, chaque phase d’extinction a été suivi d’une explosion de la bio diversité, avec de nouveaux embranchements -tant dans le règne végétal qu’animal- plus aptes à la survie.

Si il faut vraiment sauver la planète (au sens préserver les conditions de vie favorables à l’espèce humaine), le moyen le plus efficace serait d’éradiquer ladite espèce !

Sur la base d’observations comportementales, Maslow, en bas de sa pyramide, définissait 5 besoins physiologiques : se vêtir, manger, boire, avoir des relations sexuelles et dormir.

Bizarrement, son modèle est corrélé par l’existence d’une glande du cerveau (l’hypothalamus) impliquée dans la régulation de la température corporelle, de la faim, de la soif, des cycles du sommeil et du comportement sexuel.

Si l’état providence aidé par une foultitude d’associations essaie de garantir/fournir des hébergements, des vêtements, de la nourriture et de l’eau potable,

pourquoi rien n’est fait pour lutter contre la pauvreté sexuelle ?

Pourquoi l’état, grand expert dans la création de cas particuliers, de sous cas, de règles dont la complexité n’a de rapport qu’à leur inutilité,
Pourquoi l’état, donc, ne distingue pas l’ingénieur informatique, 32 ans, Parisien (capable de se prendre 2 années sabbatiques aux frais de l’état), de l’ex-ouvrière textile, 52 ans, Vosgienne ?

Il semblerait pourtant assez simple de proportionner la durée et le montant des allocations à une mesure de l’employabilité de l’allocataire. Non ?

Qui se souvient de la taxe Delalande ? L’idée était de protéger les salariés de plus de 50 ans en instaurant une (très) lourde taxe sur leurs licenciements.

L’effet a été immédiat : licenciements massifs des 49 ans et mise à l’écart du marché du travail des plus de 50.

Ainsi, dans la même logique, on peut se demander si les lois qui surprotègent -par exemple- les femmes enceintes, n’ont pas l’effet inverse à celui recherché.

Quand on demande « si 2 chemises valent 50 euros, combien valent 3 chemises ? », la plupart des gens s’en sortent.

Quand on demande à un ministre de l’éducation « si 4 stylos valent 2,42 euros, combien valent 14 stylos ? », la réponse est moins claire.