Si les hommes semblent -dans leur infinie subtilité- attirés par les courbes féminines, les femmes, quant à elles, seraient plus en quête de position sociale que d’aspect physique.
Ainsi les mâles dominants auraient plus de chance de se reproduire.
Si, de plus, on postule l’idée d’une contribution génétique à l’intelligence et au comportement,
l’espèce humaine évoluerait ainsi vers toujours plus d’agressivité et d’égoïsme.
Ca prendrait du temps, mais ce n’est peut être pas faux.
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