Du bonheur

Alors, du coup, c’est quoi le bonheur, ou plus pragmatiquement, comment s’établir des règles de vie visant à une certaine tranquillité d’esprit ?

Quand je me réveil le matin, d’un coté je peux ressentir :

  • un sentiment de trouble, de gêne, d’inquiétude, de tension 
  • ou du bien être, du calme, de la décontraction, voire de la quiétude.

Dès lors que ces sentiments sont liés à des décisions personnelles (cf. P5), il ne tient qu’à moi d’éviter les situations menant à des ressentis Négatifs et au contraire à favoriser les ressentis Positifs; ce qui est plutôt évident, j’en convient, mais pas si facile à systématiser.

Par exemple, ce matin, un ressenti Négatif : mal au ventre, gueule de bois, plus vraiment de souvenirs d’hier soir… Ce qui pourrait conduire à la règle « A consommer avec modération » R6.

Réciproquement, je me sens toujours bien après un peu de sport; pourquoi pas en établir une règle.

Alors, d’aucun diront que -a minima depuis Socrate– un corps sain est une condition de la santé de l’esprit et donc pas très original comme règle là non plus.

Soit.

Néanmoins, on peut dire d’une part que je les ai validés « en toute conscience » à l’aune de ma représentation du monde, que sur des points moins caricaturaux, comme de tuer (ou pas) des moustiques, les opinions peuvent être moins tranchées, que, d’autre part, ce n’est pas parce qu’une idée est rebattue depuis des millénaires qu’elle est fausse (ni vraie d’ailleurs) et qu’enfin, l’idée majeure est de cataloguer mes règles par écrit pour pouvoir mieux les appliquer.

En me relisant, je ne suis pas sûr d’avoir été très clair !

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