Dans le premier traité de « Généalogie de la Morale » Nietzsche reprend, pour l’essentiel, sa théorie de la morale des forts vs la morale des faibles, théorie déjà développée dans un précédent ouvrage.
Il enrichit l’idée avec la notion de race : d’un coté, donc, « la race des conquérants, des maîtres, celle des Aryens », dont la pureté est gage d’excellence, de l’autre, « Les Juifs, ce peuple à la rancune la plus rentrée, responsable du renversement des idéaux les plus nobles ».
Quand on sait ce qui s’est passé 50 ans après, c’est facile de juger, mais c’est à se demander si -en 1887- il n’avait pas déjà pété un plomb.
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