Testostérone

Des études tendent à montrer une corrélation évidente entre la criminalité violente et le taux de testostérone. Même s’il ne s’agit que d’une corrélation, on peut aussi se référer à l’image de la brute épaisse qui, dans l’inconscient collectif, se rapproche plus du type plein de muscles, prognathe, à la pilosité développée, à la peau grasse et transpirante, à l’odeur prononcée (effets de ladite hormone), que du jeune éphèbe métrosexuel.

Or, dans l’espèce humaine, les femmes -en moyenne- affichent un taux de testostérone de l’ordre de 1.5 nmol/l contre 21 nmol/l pour les hommes, ce ratio (14) très significatif, peut être rapproché d’un chiffre étonnant : la population carcérale -en France, en 2016- est constituée de 96,5% d’hommes versus 3,5% de femmes.

Dans un raccourci rapide, je me permets ainsi d’affirmer que la Femme, de par sa génétique (innée donc irrésistible), a -en l’occurrence sur le plan de la violence- un comportement très différent de celui du sexe opposé.

C’est pourquoi, je ne comprend pas la tendance actuelle de rejeter le féminisme différentialiste au profit d’un féminisme matérialiste qui positionne le débat comme une banale lutte des classes.