Pour Aristote, l’eudaimonia (béatitude, épanouissement ?), la vertu la plus noble, le bien suprême, subordonne tous les autres besoins.
A moindre niveau, il place la reconnaissance sociale de sa propre excellence (l’estime).
Tout en bas de sa pyramide du bonheur, se trouve les plaisirs liés à la satisfaction des besoins animaux.
Enfin, il évoque l’amitié, l’amitié vertueuse, comme au dessus des plaisirs matériels, mais nécessaire au long chemin vers l’eudaimonia.
Ainsi pourrait-on résumer sa théorie du bonheur en 4 étapes hiérarchisées :
1- la satisfaction des besoins biologiques,
2- l’amitié et l’appartenance à un groupe,
3- l’estime de la société,
4- l’accomplissement désintéressé.
Toute ressemblance ne serait que pure coïncidence !
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